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Découvrez  la XVe édition Prix cinématographique José María Forqué; Introduction
Les Producteurs Choisissent son film
Des prix avec une histoire derrière eux
Médaille d’or julio fernández
Découvrez  la XVe édition Prix cinématographique José María Forqué;et profitez d’un film Gratuit.Choisissez un film des éditions précédentes des Prix  José María Forqué et profitez d’un visionnage Gratuit.

Introduction

Le Prix José María Forqué est un prix décerné chaque année aux meilleures productions cinématographiques espagnoles pour leurs valeurs techniques et artistiques. Actuellement il est l’un des prix les plus prestigieux de l’industrie du cinéma espagnol et il réunit chaque année à tous les professionnels du domaine audiovisuel, politique et culturel. El secreto de sus ojos, Agora, El baile de la victoria, Celda 211 et Yo, también sont les cinq finalistes de cette année. Le 28 février prochain, lors d’une cérémonie présentée par l’acteur Alex O´Dogherty et le mannequin et présentatrice Mar Flores on saura lequel est choisi finalement.


Les producteurs choisissent le film de l’année

Le résultat a été annoncé publiquement par l’actrice Natalia Verbeke et le Président d’EGEDA, Enrique Cerezo : Agora, Celda 211, El baile de la Victoria, El secreto de sus ojos et Yo, también sont les cinq films sélectionnés par les producteurs espagnols pour remporter le Prix José María Forqué de la meilleure production cinématographique de l’année, prix qui marque le début de la saison des prix cinématographiques en Espagne.

Le prix José María Forqué, institué il y a 15 ans par EGEDA, entend contribuer à la diffusion et promotion des films et du cinéma espagnol. À cette quinzième édition ont participé : 130 long-métrages de fiction, 35 documentaires et 9 long-métrages de dessins animés, dont la sortie a eu lieu entre le 1er décembre 2008 et le 30 novembre 2009.

La cérémonie de cette année, qui sera transmise par TVE, incorpore comme nouveautés deux nouveaux prix à son palmarès : le Prix de la meilleure interprétation dans les catégories masculine et féminine, créés en collaboration avec la fondation AISGE et l’Association de la Presse, afin de faire valoir le travail des acteurs dans les long-métrages espagnols. Les primés seront connus lors de la cérémonie ainsi que tous les autres prix. Ce prix a une dotation économique de 3 000 euros par catégorie.

Voici les cinq films finalistes de l’année :

Agora


Agora

Date de sortie en salle: 9 de Octobre.
Réalisation: Alejandro Amenábar.
Scénario: Alejandro Amenábar y Mateo Gil.
Production: Mod Producciones, Himenóptero productions y Telecinco Cinema.
Acteurs: Rachel Weisz, Oscar Isaac, Max Minguella, Rupert Evans, Ashraf Barhom, Michel Lonsdale.
FPhotographie: Xavi Giménez.
Montage: Nacho Ruiz Capillas.

IVe siècle. L’Égypte sous l’Empire Romain. Les violentes révoltes religieuses dans les rues d’Alexandrie arrivent à sa Bibliothèque légendaire. Enfermée derrière ses murs, la brillante astronome Hipatia lutte pour sauver la sagesse du Monde Ancien aidée par ses disciples. Parmi ceux-ci, deux hommes se disputent son amour : Orestes et le jeune esclave Davo qui se débat entre l’amour qu’il lui voue secrètement et la liberté qu’il pourrait obtenir se joignant à la montée imparable des Chrétiens.

Agora a été, sans doute, l’un des films les plus attendus de l’année. Après une carrière à succès, météorique et précoce, et l’Oscar du Meilleur Film Étranger pour Mar Adentro, Alejandro Amenábar a entrepris son projet le plus ambitieux jusqu’à présent. Cinq ans plus tard le résultat est le film le plus cher de l’histoire du cinéma espagnol ; et tourné en Anglais. Aux côtés de son camarade Mateo Gil, Amenábar a écrit une histoire située à l’Alexandrie du IVe siècle d.C., et il a eu besoin de 50 millions d’euros pour faire que ce projet soit projeté dans les salles de cinéma de tout le monde.


Celll 211


Celll 211

Date de sortie en salle: 13 de noviembre.
Réalisation: Daniel Monzón.
Scénario: Jorge Guerricaechevarría, Daniel Monzón.
Production: Vaca Films Studio, S.L., Morena Films, S.L., Telecinco Cinema, S.A., La Fabrique de Films-Testimonio Gráfico.
Acteurs: Luis Tosar, Marta Etura, Alberto Amman, Antonio Resines, Carlos Bardem, Manuel Morón, Félix Cubero.
Photographie: Carles Gusi.
Montage: Mapa Pastor.

Juan, fonctionnaire des prisons, arrive à sa nouvelle place la veille de son incorporation officielle. Il y est victime d’un accident quelques minutes avant le déclenchement d’une émeute dans le secteur des FIES, les prisonniers les plus craints et les plus dangereux. Ses camarades ne peuvent que veiller pour leur vie et ils abandonnent le corps évanoui de Juan dans la Cellule 211. Quand il se réveille, Juan comprend la situation et il se fait passer par un prisonnier par-devant les insurgés. À partir de ce moment, il devra jouer à l’aide de ruse, mensonges et risques, sans savoir quel piège paradoxal l’attend.

Suite au vanté La caja Kovak, le jeune Daniel Monzón revient pour se couvrir de gloire avec ce thriller d’action carcéral qui a fait les délices du public et la critique en Espagne et qui a triomphé dans les festivals de Venise, Toronto et Sitges.


El Baile de la Victoria


El baile de la Victoria

Date de sortie en salle: 27 de noviembre.
Réalisation: Fernando Trueba.
Scénario: Fernando Trueba, Jonás Trueba y Antonio Skármeta (basado en una novela de éste último).
Production: Fernando Trueba P.C.
Acteurs : Ricardo Darín, Ariadna Gil, Abel Ayala, Miranda Bodenhofer.
Photographie: Julián Ledesma.
Montage: Carmen Frías.

À l’occasion de l’arrivée de la démocratie, le président du Chili décrété une amnistie générale pour tous les prisonniers n’ayant pas commis de délit de meurtre. Le jeune Ángel Santiago est décidé de venger les abus sexuels dont il a été victime en prison, mais il envisage en même temps un vol ambitieux et risqué pour lequel il a besoin de la collaboration de Nicolás Vergara Grey, un célèbre voleur de banques qui évite cette réputation et essaie de récupérer sa famille. Son plan se brouille par la présence magique de Victoria, une mystérieuse danseuses adolescente dont les parents furent assassinés pendant la dictature de Pinochet.

Le réalisateur oscarisé Fernando Trueba a choisi ce roman du chilien Antonio Skármeta pour revenir à la fiction cinématographique, sept ans après le tournage de Le sortilège de Shanghai. Le film a été sélectionné par les membres de l’Académie du Cinéma pour représenter l’Espagne dans la course internationale pour l’Oscar du meilleur film étranger.


El secreto de sus ojos


El secreto de sus ojos

Date de sortie en salle: 25 de Septiembre.
Réalisation: Juan José Campanella.
Scénario: Juan José Campanella, Eduardo Sacheri.
Production: 100 Bares, Tornasol Films, Haddock Films, Telefe.
Acteurs: Ricardo Darín, Guillermo Francella, José Luis Gioia, Javier Godino, Pablo Rago, Soledad Villamil.
Photographie: Félix Monti.
Montage: Juan José Campanella.

Benjamín Espósito, greffier d’un Tribunal d’Instruction de Buenos Aires, est sur le point de prendre la retraite et il décide d’écrire un roman tiré d’un cas qui l’a profondément ému trente ans plus tôt, dont il a été témoin et protagoniste. Son obsession par un meurtre brutal survenu en 1975 le fait revivre ces années, avec non seulement la violence du meurtre et du meurtrier, mais une profonde histoire d’amour avec sa camarade de travail qu’il a désirée et aimée en silence pendant des années. Le roman écrit par Espósito nous amène aux années 70, époque de turbulences en Argentine, avec une ambiance raréfiée, dans laquelle rien n’était ce dont il avait l’air.


Yo, también


Yo, también

Date de sortie en salle: 16 de Octubre.
Réalisation: Álvaro Pastor y Antonio Naharro.
Scénario: Álvaro Pastor, Antonio Naharro.
Production: Alicia Produce y Promico Imagen.
Acteurs: Lola Dueñas, Pablo Pineda, Isabel García Lorca, Pedro Álvarez Ossorio, Antonio Naharro, María Bravo, Consuelo Trujillo, Daniel Parejo, Lourdes Naharro.
Photographie: Alfonso Postigo.
Montage: Nino Martínez Sosa.

Daniel, un jeune de Séville âgé de 34 ans, est le premier européen atteint de trisomie ayant obtenu un un diplôme universitaire. Il commence à travailler à l’administration publique où il rencontre Laura, une camarade de travail sans handicap visible. Et il tombe amoureux d’elle. Lorsque le handicap n’est plus une barrière, il y a encore les complexes à surmonter et les préjugés qui s’interposent dans le chemin vers l’amour. Le handicap est alors remplacé par notre propre incapacité d’aimer et d’être aimés.

Premier film de deux nouveaux arrivés du monde du court-métrage qui a remporté deux Coquilles d’Argent correspondant à la meilleure interprétation masculine et féminine de la dernière édition du Festival de San Sébastian.


Des prix avec une histoire derrière eux

Ayant pour but de rendre hommage à la mémoire d’un homme essentiel pour la cinématographie espagnole, fondateur et premier président d’EGEDA, cette société a créé en 1996 le Prix cinématographique José María Forqué à la production cinématographique espagnole. Le prix est né avec le double objectif d’aider à la diffusion de l’importance de l’industrie audiovisuelle espagnole et de stimuler la figure du producteur cinématographique.

Il est décerné à la meilleure production espagnole de l’année précédente pour ses valeurs techniques et artistiques, suite à un vote secret par-devant un notaire de tous les membres de la société. Tous les long-métrages projetés sur les écrans espagnols pendant l’année précédente peuvent opter à ce prix qui dispose d’une dotation économique de 30 050 euros.

Étant donnée le succès croissant du prix, EGEDA décida d’incorporer deux nouveaux prix en 2003 (VIII édition) : le Prix Spécial EGEDA du Meilleur Long-métrage Documentaire et/ou de Dessins animés (doté de 6 000 euros) et la Médaille d’Or d’EGEDA, qui récompense la trajectoire d’un producteur dans le cinéma espagnol.

La première édition du prix eut lieu le 17 avril 1996 à l’Ateneo Científico y Literario de Madrid, remportée par le film Personne ne parlera de nous quand nous serons mortes, réalisé par Agustín Díaz Yanes et produit par Flamenco Films y Xaloc ; la deuxième édition eut lieu le même jour de 1997 au même endroit que la première. Cette fois le vainqueur fut Tesis, premier film d’Alejandro Amenábar produit par Las Producciones del Escorpión, S.L. La troisième édition eut lieu au Casino de Madrid le 20 de Avril 1998 et le prix fut remporté par le film La bonne étoile, réalisé par Ricardo Franco et produit par Enrique Cerezo, P.C. et Pedro Costa P.C. Cette édition du Prix rendit hommage en même temps à Helena Matas et Antonio Cuevas, Président et Vice-président d’EGEDA, décédés en 1997.

Jusqu’à présent et selon les bases du prix déposées par-devant un notaire, le choix du film primé se réalisait conformément à la décision prise, chaque année, par les membres de la société lors d’un seul vote secret fait également par-devant un notaire.

Lors de la quatrième édition, célébrée le 19 avril 1999, il fut utilisé pour la première fois un système de double vote établissant cinq finalistes parmi lesquels le vainqueur était choisi. Suite au premier vote, les films finalistes furent El abuelo, Les amants du cercle polaire, Barrio, La fille de tes rêves et Tango. Le prix revint à Barrio, film réalisé par Fernando León de Aranoa, et produit par Elías Querejeta, P.C. et Sogetel.

Dans la cinquième édition, les films finalistes furent Flores de otro mundo, Goya, La langue des papillons, Solas et Tout sur ma mère, et le prix fut remporté par Solas, réalisé par Benito Zambrano et produit par Maestranza Films.

Lors du VI Prix cinématographique José María Forqué les films finalistes furent El Bola, Mes chers voisins, La Espalda del mundo, Leo, Sé quién eres et You´re the one. Le prix fut remporté par El Bola, produit par Tesela Producciones Cinematográficas et réalisé par Achero Mañas.

En 2002 la cérémonie de remise du prix fut transférée au Théâtre Royal de Madrid car l’importance acquise par le concours au fil des ans avait produit une notable augmentation du nombre de personnes intéressées par assister à l’événement. Le VII Prix cinématographique José María Forqué fut remporté par le film En construcción, produit par Ovideo et réalisé par José Luis Guerín. Les autres finalistes furent Le fils de la mariée, Juana la Loca et Les autres.

Le 29 mai 2003, le Théâtre Royal étant déjà le siège, la cérémonie de remise du VIII Prix José María Forqué eut comme finalistes les films Les lundis au soleil, Parle avec elle, En la ciudad sin límites, Historia de un beso et El otro lado de la cama. Le prix fut remporté par le film Les lundis au soleil, réalisé par Fernando León de Aranoa et produit par Elías Querejeta, P.C. et Mediapro. Lors de cette édition il fut remis pour la première fois le Prix Spécial EGEDA du meilleur long-métrage documentaire ou de dessins animés, remporté ex aequo par les travaux Balseros, de Bausan Films, et El Efecto Iguazú, de Cre-Acción Films. Il fut également remis pour la première fois la Médaille d’Or d’EGEDA, prix d’honneur remis à la trajectoire professionnelle d’un producteur et qui fut remis dans sa première année à Pedro Masó, décédé récemment.

La Cérémonie de remise du IX Prix eut lieu le 21 avril 2004. Les films finalistes furent El oro de Moscú, En la ciudad, Soldados de Salamina, Ma vie sans moi et Ne dis rien. Ce dernier film, réalisé par Icíar Bollaín et produit par Alta Films et Producciones La Iguana S.L., a été le vainqueur. Le II Prix Spécial EGEDA du meilleur long-métrage documentaire ou de dessins animés a été remporté par Julio Medem, producteur et réalisateur de La pelote basque, la peau contre la pierre. La Médaille d’or d’EGEDA, a été remise à Elías Querejeta.

La X édition du Prix eut comme finalistes les films La mauvaise éducation, Héctor; Tiovivo C. 1950, El lobo, et Mar adentro. Le prix fut remporte par ce dernier long-métrage, réalisé par Alejandro Amenábar et produit par Sogecine e Himenóptero Films. Le Prix Spécial EGEDA revint à El milagro de Candeal, produit par Fernando Trueba P.C., BMG et Iberautor et la Médaille d’Or fut remise, à titre posthume, à Luis Méndez, membre du Conseil d’Administration d’ EGEDA.

The Secret Life of Words, réalisé par Isabel Coixet et produit par El Deseo et Mediapro, remporta le prix de la XI édition, célébrée en mai 2006. Les finalistes furent Obaba, Princesas, Habana Blues et Les 7 vierges. Le Prix Spécial EGEDA du Meilleur Long-métrage documentaire ou de dessins animés revint à Le ciel tourne, produit par Fernando Lara et la Médaille d’or d’EGEDA à Andrés Vicente Gómez.

Une année plus tard, le film primé à plusieurs reprises Le labyrinthe de Pan, réalisé par Guillermo del Toro et produit par Estudios Picasso Fábrica de Ficción y Tequila Gang, remporta le prix dans sa douzième édition à laquelle le finalistes furent Capitaine Alatriste, Azul et Volver. Le Prix Spécial EGEDA du Meilleur Long-métrage documentaire ou de dessins animés revint à Cineastas en acción, produit et réalisé par Carlos Benpar et la Médaille d’Or fut remise au producteur Antonio Sáenz de Vicuña.

En 2007, le film d’horreur L'orphelinat a réussi à remporter le prix. C’était la treizième édition, célébrée au Palais de Congrès et Expositions de Madrid lors d’une cérémonie dans laquelle les finalistes ont été Bajo las estrellas, Siete mesas de billar francés, La solitude et Las 13 rosas. Le Prix Spécial EGEDA a été pour documentaire Invisibles et la Médaille d’Or a été remise au cinéaste José Luis Borau.

Jusqu’à présent Camino a été le dernier film primé lors d’une cérémonie célébrée le 14 janvier 2009 dans laquelle elle était en compétition avec les films Che - 1ère partie - L'Argentino, Los girasoles ciegos, Solo quiero caminar et La conjura de El Escorial. Le Prix Spécial EGEDA est tombé sur José Luis López Linares et Antonio Saura, producteurs du documentaire El pollo, el pez y el cangrejo real. La Médaille d’or d’EGEDA a été remise à Eduardo Ducay, en récompense à ses plus de soixante années consacrées au cinéma.


Medalla de Oro 2010. Julio Fernández

Julio Fernández est producteur et président de FILMAX ENTERTAINMENT. Né à A Fonsagrada (Lugo) et père de deux filles, il habite Barcelone depuis la fin des années 60. Fernández est Diplômé de l’École de Haute Direction et Administration de Sociétés de Barcelone (EADA) et il s’est consolidé comme l’un des artisans de la nouvelle étape de la l’industrie audiovisuelle espagnole.

Julio Fernández a été pionnier dans la production de cinéma fantastique et d’horreur et il est l’un des producteurs qui ont le plus travaillé et ont eu le plus d’influence dans ce genre en Espagne à travers la Fantastic Factory, qui a produit des films tels que Darkness, de Jaume Balagueró, L'enfer des loups, de Paco Plaza, Arachnid, de Stuart Gordon et en tant que dernières productions [REC], de Jaume Balagueró et Paco Plaza qui est devenue la franchise ayant obtenu le plus grand succès ces dernières années dans le domaine du cinéma d’horreur espagnol, La caja Kovak, de Daniel Monzón ou The Machinist, de Brad Anderson.

Un autre des genres pour lesquels Julio Fernández a parié et dans lesquels il a été pionnier est celui des dessins animés. À cette fin, Filmax a créé Bren Entertainment, usine de dessins animés site à animation Santiago de Compostela, qui se trouve, selon Fernández, « parmi les huit premières du monde » et qui a déjà remporté cinq Prix Goya. Un exemple de la qualité des produits audiovisuels qui sortent de Bren Entertaiment sont Pérez, el ratoncito de tus sueños (2007), Donkey Xote (2007), Pinocchio le robot (2004), et les travaux de dessins animés 2D, Nocturna, la nuit magique (2007), Gisaku (2006), ou La légende du Cid (2003).

Néanmoins, la longue trajectoire de Julio Fernández, qui comporte plus de 100 films produits, comprend de succès qui dépassent ces genres, avec des films tels que El lobo, Tapas, Cobardes ou Le parfum - Histoire d'un meurtrier et qui lui ont octroyé un rôle important dans la production en Espagne.

 
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